Jacobins ante portas!2018.01.24. 23:21, aefruse
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Au secour!
NO XV.
Du Jeudi 31 Octobre 1793.
publié par Maja
Nous réveillâmes à un jour très tragique. Comme on sait que la partie montagnarde eut gagné beaucoup de pouvoir. Elle eut toujours fait des actions politiques sans accord avec notre partie. Nous ûmes blâmé Marat parce qu’il eut été contre notre République mais le Tribunal Révolutionnaire l’eut acquitté. C’était le point quand tous furent tournés mal.
Les sans-culottes demandèrent de blâmer les Girondins. François Hanriot, le nouveau chef du Gard national, provoqua la populace. Les gens avec des armes à feu entrèrent et ils capturèrent les députés girondins. Barré, membre du Comité de salut public, n’accepta pas de capturer les Girondins et il demanda de démissioner. Quelque députés l’accepta mais la plupart non.
Les jacobins décitèrent: les Girondins furent capturés et ajourd’hui ils furent exécutés par la guillotine.
Et la terreur ne finit pas!
La partie montagnarde chasse toujours les membres de notre partie parce qu’il dit que nous sommes les ennemis de la République. Personne n’est en sécurité.
Les soldats des jacobins sont ici!....... Ils veulent entrer!...... Ils entrèrent.........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
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C’est Pierre Lechaise, membre de la Partie Jacobine. Nous gagnâmes, stupides girondins!
Injustice à la Parisienne!1793.06.03. 18:31, aefruse
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Et au désenchantement?
NO XIV.
Du Lundi 3 Juin 1793.
publié par Virág
Le 2 juin, 80 000 Parisiens en colère assiègent l'assemblée de la Convention. Il s'agit essentiellement de gardes nationaux en armes. Ils réclament la destitution et l'arrestation des députés girondins, que l'on appelle ainsi parce que plusieurs sont originaires du département de la Gironde.
Leur crime? Après la victoire de Valmy (le 20 septembre 1792) et instauration de la République, les Girondins, adeptes d'un pouvoir décentralisé, auraient souhaité arrêter le cours de la Révolution.
Les Montagnards font voter une loi sur le cours forcé de l'assignat et ils obtiennent le lancement d'un « emprunt forcé » sur les riches. Ils bénéficient du soutien des sans-culottes parisiens, de la Commune de Paris et du club des Jacobins. Les Jacobins entreprirent de dominer l'opinion contre leurs adversaires Ontiques qu'ils continuaient à appeler les « Brissotins ». Après l'exécution du roi, Marat déploya ses efforts contre « la faction ennemie » qui avait le front de vouloir disputer le pouvoir aux Montagnards. Les députés prisonniers, sont contraints de signer un décret qui emprisonne certains des membres de la Gironde. Ainsi avec l'aide de la Commune, la Montagne a mis fin au pouvoir des Girondins.
Les journées insurrectionnelles du 31 mai et du 2 juin aboutissent à l'arrestation de 29 députés, chefs des Girondins, sur décision de la Convention. Ils seront exécutés. Les Girondins non arrêtés vont soulever contre la Convention les départements où ils sont influents : c'est le soulèvement fédéraliste.
Appel au peuple1793.01.22. 19:00, aefruse
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NO XII.
Du Dimanche 20 Janvier 1793.
publié par Szabina
Chers lecteurs, nous parlâmes aux députés Girondins par rapport au procès de Louis Capet qui eut eu lieu devant la Convention nationale le 15 Janvier. La majorité des présents eurent condamné le roi à la mort les jours précédents. «Cette décision nous paraît dangereux avec attention à la Nation, mais nous n'avons pas d'autres choix. Louis Capet ne peut jamais être républicain, il nous pose une menace.» déclara Pierre Victurnien Vergniaud, qui y était présent comme l'orateur de la Gironde, le président de la Convention. Il eut aussi partagé avec le journal que d'abord, il était contre l'exécution du tyran parce que l'on craint que les puissances étrangères fonderont sur la France.
Quatre questions furent posées devant le public:
1ère «Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté publique et d'attentats contre la sûreté générale de l'État, oui ou non?»
2ème «Le jugement de la Convention nationale contre Louis Capet sera-t-il soumis à la ratification du peuple, oui ou non?»
3ème «Quelle peine sera infligée à Louis?»
4ème «Y aura-t-il un sursis à l'exécution du jugement de Louis Capet?»
Le roi sans tête1793.01.21. 23:57, aefruse
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NO XIII.
Du Mardi 22 Janvier 1793.
publié par Noémi
Ou bien on pourrait facilement citer d'autres titres comme..
» Louis Capet nous montra comment meurt un roi
» Le roi était courageux, le bourreau avait peur
» Charles-Henri Sanson avait une peur terrible
Il était sûr aux derniers moments que l'exécution allait s'élider. Le jour avant, il reçut une lettre: «quelqu'un va sauver le roi et tirer Sanson». Donc il alla désagréablement avec ses frères et des armes à l'emplacement où il marmotta des jurons quand le carrosse s'arrêta et Louis se mit pied à terre avec son confesseur.
Plusieurs milles étaient curieux à la mise au mort du roi et 80 milles de policiers occupèrent l' ordre, on peut dire qu'il y avait un public gigantesque. Louis XVI rentra solennel sûr échafaud vers la guillotine.
Sanson savait: si les royalistes affleurèrent dans ce moment, ça allait être sa fin et il regretta le roi - il le sauva du prison des dettes. L'un de ses frères voulut aider déshabiller le roi mais il ne lui permit pas - «C'est inutile, je suis bien comme ci.»
Il mit son manteau mais il n'acquiesça pas de le ficeler. Sanson était choqué et son frère convainquit Louis que c'était nécessaire. Enfin, le confesseur immisça mais ils utilisèrent son mouchoir à la place de câble.
«Capet concitoyen» Sa Majesté tourna fièrement au public. Avec un petit mouvement de sa tête, il cama le roulement des tambours. «Les gens, je vais mourir ingénument» - il cria. Après les tambours commencèrent à résonner et juste qui étaient près de lui pouvaient entendre ce qu'il eut dit. «Messieurs, je suis innocent dans tous ce que avec vous m'accusez. Je souhaite que mon sang affirmerait le bien-être des français.»
Ils firent coucher Louis sur l'échauf, Sanson tira le câble qui maintint le lame de quarante kilos. C'était son coup funeste.
Le bourreau nous fit une déclaration: «C'était la fin de notre roi malheureux, bien qu'un mille de personnes déterminées purent encore dans ses dernières minutes sauver sa vie.»
Déclaration de la guerre1792.12.12. 20:45, aefruse
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de Pillnitz
NO X.
Du Mercredi 12 Décembre 1792.
publié par Virág
Durant l’été, les émigrés français, furieux de l’échec de Varennes, multiplient leurs interventions auprès des cours européennes. Léopold II, malgré sa répugnance personnelle, esquisse un rapprochement avec la Prusse. Le 15 juillet (au lendemain du retour de Varennes), son chancelier, Kaunitz, signe avec celui de Prusse, Bischoffwerder, un traité préliminaire d'alliance défensive et de garantie mutuelle de leurs territoires.
Lorsque Frédéric-Guillaume (roi de Prusse) et Léopold (empereur d’Autriche) se rencontrent et signent alors la déclaration de Pillnitz du 24 au 27 août, ils sont présents pour obtenir la prise de position la plus dure possible contre la révolution. Cette déclaration, assimilée à un traité, fut reprochée à Louis XVI, au cours de son procès dans la séance du 11 décembre 1792. La déclaration de Pillnitz était ainsi conçue pour aider la faction pro-royale dans le gouvernement révolutionnaire contre les républicains plutôt que de menacer une guerre.
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